Pascale de Trazegnies dédicace son dernier livre ''Ô Orchidées !''  lors de Côté Jardin Côté Coeur Fête l'Art du Jardin  au  Château de Pompignan le dimanche 13 octobre 2019
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Article N°23266

Pascale de Trazegnies dédicace son dernier livre "Ô Orchidées !" lors de Côté Jardin Côté Coeur Fête l'Art du Jardin au Château de Pompignan le dimanche 13 octobre 2019

Elle animera également une conférence
"Ô Orchidées! De Confucius aux White Stripes... L’orchidée telle que vous ne l’avez jamais vue!"
Pascale de Trazegnies nous emmène dans un voyage initiatique au coeur de la mythique orchidée, vue par des philosophes et des poètes du monde entier: Confucius, Shakespeare, Darwin, Jean Cocteau, Boris Vian, Simone de Beauvoir etc...

A propos de  Pascale de Trazegnies

Issue d’une très ancienne famille de l'aristocratie par son père, Pascale de Trazegnies passe son enfance dans le château médiéval de Corroy-le-Château. Diplômée en sciences politiques à l’Université de Louvain(1972), elle se tourne vers la musique.

Au début des années 1970, elle fonde avec Daniel Schell le groupe Cos1 dans lequel sa voix est surtout utilisée comme un instrument2. Elle y joue également du hautbois et de l’orgue. Elle se produit en solo, notamment au festival de Spa (1977)3 où elle crée ses propres chansons, et enregistre aux côtés de Dick Annegarn un album-concept4.

En 1980, elle quitte Cos et s’installe à Paris. Elle enregistre un disque avec John Greaves5 et participe à plusieurs événements de poésie sonore du groupe « Polyphonix » animé par Jean-Jacques Lebel6. Elle écrit un premier roman, L'Etat de veille, immédiatement remarqué par Bernard Fixot, qui le publiera en 1988 dans la maison d'édition qu'il vient de fonder. S’ensuivent d’autres publications7, toutes fortement teintées d’érotisme8.

En 2009, elle s’installe dans la vallée du Lot où elle se consacre à l’écriture.

Ô Orchidées !  - extraits

Chapitre 1, Les Émerveillés,

PIERRE LOTI.

    « C’était le même sol exquis, où partout effleurait la pierre grise et où ne croissaient que des plantes délicates des lieux secs, les tapis de lichen, les graminées d’une impalpable finesse qui font comme une petite vapeur épandue sur la terre, et les orchidées dont les fleurs ont l’air de mouches en velours grimpant le long d’un brin de roseau. »

     Il s’agit bien évidemment des Ophrys mouche (anciennement Ophrys myodes, aujourd’hui Ophrys insectifera), et pour qui a jamais aperçu dans les sous-bois cette délicieuse merveille, quelle expression plus jolie que « ces petites mouches en velours grimpant le long d’un roseau » ?

     Elles sont éparpillées sur leur tige, c’est vrai, elles semblent grimper, c’est vrai, elles paraissent vivantes, c’est vrai, et chaque fois que j’en vois, dans leur petitesse, dans leur modestie, mais aussi leur défi, je suis prise d’une émotion intense, une fébrilité, comme si j’assistais à un mystère.

     La chasse à l’orchidée est une affolante aventure. On ne s’ennuie jamais. Dès que le printemps pointe, un sixième sens se réveille, se met en alerte. L’esprit se branche sur la notion d’orchidée.

    Et le moindre déplacement, le moindre voyage réserve des surprises.

     Il peut même arriver à l’amateur d’orchidées de découvrir des spécimens rares dans les endroits les plus incongrus comme les anciennes carrières ou les périphéries des villes, même parfois entre les pavés des cités, comme Théodore Monod ou André Dhôtel autrefois à Paris.

     Nous le verrons plus tard.

source
http://www.pascaledetrazegnies.com/Site_Pascale/Extrait_O_Orchidees.html


Source Côté Jardin Côté Coeur

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